jueves, 30 de diciembre de 2010

LES FUNERAILLES AVEC LA BETE

Ahí va otro poema en francés, a degustar por quien quiera en franchute, ya enviaré uno en español.

Je veux juste te parler
t'observer sans reproche
t'écouter sans rien dire
Ce serait mon désir.

Savoir que tu es là
Même si rien ne nous attache,
je voudrais seulement te sentir
sans rien dire, sans rien dire.

Mais que le passé ne se surprenne pas,
si dans l'avenir que tu voyais
on était ensemble, on était là.

Et maintenant que je m'attache
je suis seul et tu es distante.
Maintes fois ai je caressé tes cheveux
j'ai promis que je t'aimas;
je mentais et tu me croyais.

On était jeunes, tu étais belle.
Dans ma différence tu voyais des ailes.
Je n'étais pas un ange,
tu étais belle.

Dans ta tombe je détruis,
notre jeune âge,
et ton beau visage.
Un temps perdu dans les ères
d'un monstre vieux
et d'une femme pleine de courage.


Par Mauricio J. Coronado

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